> Critiques > La Clipothéque



Watine, c’est cette merveilleuse infime tache de rouge qu’avait l’habitude de peindre Corot dans ses paysages, ce rouge qui éclaire les verts, le contraste flagrant du sang répandu et de la séve ingurgitée, la chair dans le bois, la lueur dans l’obscurité, une notion de sens, une définition de sentiments, une vie posée là, entre delicatesse impudique et fracas intime, en image, pour vous.