Le volume 42 de nos compilations nous avait fait découvrir Dona Confuse et ouvert les portes de leur univers qui s’incarnait dans leur album Elements of Cosmogony, dont l’hybridation entre rock progressif, math rock & post-rock nous avait troublé.
Le trouble est de nouveau présent à travers la mise en image de Cosmos Edge, morceau porté par des envolées synthétiques, tribales totalement addictives.
Entre ésotérisme, incarnation métaphysique, manifestation surnaturelle et trouble initime, Paul Gilbert met en scène un clip , qui un peu à la manière du cinéaste Kornél Mundruczó dans White God ou La Lune De Jupiter nous rappelle la puissance de la science-fiction quand celle-ci vient, comme c’es te la cas ici brillamment, se mêler au réel, susciter le doute et ainsi troubler et questionner nos référentiels .
à voir et à écouter.