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  • 7 mars 2009 /
    Unkle
    “never neverland”

    rédigé par gdo
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Cela s’ouvre comme un film de David lynch duquel on imagine un monsieur loyal ouvrir un cabaret coloré mais sinistre. Une éternité après un premier essais, icône de l’expression à moitié vide à moitié pleine, unkle reprend la route des platines pour un album séduisant mais encombrant dans cette myriade d’albums hybrides et sans famille qui constellent nos discothèques. Suiveur et faussement dérangé, ce disque dissèque une vision microscopique et oublie l’existence de mezzanine (certains diront pourquoi lui ne l’oublierait pas alors que 3D l’a lui aussi fait). Le souffle cour pour des rythmes aussi turbulent, unkle s’éloigne de son autoroute des malheurs, pour ceux de la fin ultime mais loin de la pensée foisonnante, plus prêt de la montée de fièvre crade et des alluvions de sueurs polluées. Invitant comme toujours du monde à sa fiesta, unkle rigole du mauvais tour joué et décortique un par un les forces et les faiblesses de chacun pour son unique plaisir. Comme disait un chroniqueur à la tête improbable sur canal…fallait pas l’inviter.




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