> Critiques > Labellisés



Décidément, il n’y aura jamais eu autant de groupe reprenant les artefacts ou même des idiomes de la période de tonton Staline et cousin Brejnev que depuis la chute du mur pour que nous puissions voir ce qu’il y avait derrière. Idiomes et artefacts certes mais pas frigidités, absence d’humour et castration. The lost communists sont loin de Moscou, sauf si on imagine la capitale de la Russie comme le New York des bas fonds, de l’underground et du sexe. En cinq titres ce combo fait se rencontrer Otis Redding et le rock garage le tout sur un escalator devenu fou. Rien que pour Flyin’fighter qui ferait passer la Mano Negra pour un groupe de maison de retraite, The Lost Communists utilisent toutes ses fonctions vitales pour lutter contre la morosité. Si les claviers ont été retrouvés dans la caves des Inspiral Carpets, nos services secrets témoignent que les substances utilisées ne se rapprochent pas de la vodka mais plus de la testostérone naturelle. Un disque belanovien.




 autres albums


aucune chronique du même artiste.

 interviews


aucune interview pour cet artiste.

 spéciales


aucune spéciale pour cet artiste.