Quand on parle du dépassement de soit de sortie de corps dans le cadre de la musique, on colle cet état à la musique techno et a ses dérivés, magnant Bpm et bruit comme des marteaux piqueurs détruisant toutes velléités d’exister dans le périmètre adjacent. Won est à ranger dans les micros sociétés, dans les tréfonds de la terre, là ou les gouttes s’amoncèlent lentement. On y croise des exégèses de la société humaine, mais sans aucune inhibition. Won joue avec un élément, laissant la terre le vent et le feu dans un vestiaire, pour arriver au même résultat que pour les techno parade assourdissante, la transe. Won a gagner le droit de nous envoûter. Surprenant.