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Emmanuel. Dépêches-toi, viens me chercher du fond de la folie où tu m’as amené. Trois fois rien disais-tu ? C’est ta formule magique ? Allons trois fois rien, alors on plonge, on écoute, on réécoute jusqu’au stade où l’on écoute plus que cela sans réellement savoir si le désir existe vraiment. Et puis l’obligation devient notre maitresse et là tes notes de guitares ensorcellent (David Grubbs m’a déjà eu avec ce genre de track 1) sont l’oxygène pour tenir debout sans craindre l’écrasement. Quand tu parles d’accident, de rapidité, de la naissance involontaire de tes alliages tu me fais penser à ses alchimistes à grandes robes (de saint aubin….une vieille famille, une histoire) qui maudissent jamais assez le jour naissant de clôturer des nuits dans la solitude des recherches effrayantes. Trois fois rien, donc…et certains de mes amis tu n’y vois pas l’écho des sirènes sous la brume, dans combustion le jardin où poussaient les arbres de Talk Talk n’est-il pas le lieu vers lequel tu nous emmènes ? Que veux-tu que j’ajoute, que je continue à décrire ma lente descente dans ton….paradis. Ah oui trois fois rien…oui trois fois rien cette chronique qui redonne son sens à la surprise. A découvrir absolument.




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