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  • 8 janvier 2005 /
    Los alamos
    “no se menciona la soga en casa del ahorcado”

    rédigé par gdo
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Sortant d’une periode western, qui oscillait entre chef d’œuvre absolu et production fantomatique, il m’était surprenant de prendre entre les mains les deux cd’s des Los Alamos (imganez ce qu’il aurait pu m’arriver en visionnant l’intégralités des astérix en chair et en os). La panique ne s’est pas non plus emparée de moi à l’écoute du disque car Los Alamos n’est pas un groupe suédois jouant de Krautork au xylophone. Dignes héritiers du Gun Club et de Nick Cave, Los Alamos ballade sa carcasse brulée par le soleil, entre la poussiére et les saloons dans lesquels le mauvais whiskey rend la journée moins longue. Utilisant une puissance de feu (le troisiéme titre ne fait pas dans la dentelle quand il s’agit de pousser les portes d’un bordel), Los Alamos ravive la parole d’un Cow boy qui aurait connu l’enfermement au mileu de l’Arizona. La gorge le brule d’autant de mot à sortir alors il dél§gue certaines intomnations à ses instruments. Des chansons de cowboy, pour des disques qui ne donnent pas leur part au chien de passage. Un miracle au milieu de la légende des pistolers à trente coups.




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