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Simple figure de style ou dialecte obligatoire pour comprendre le rock, le décompte un deux trois sonne le départ, souvent dicté par le batteur, d’un morceau comme le starter lâche les fauves d’un cent mêtres pour la piqure olympique. Avec nos dragons le un deux trois peut surgir au milieu de morceau. Le cracheur de feu peut avoir besoin de carburant alimentaire pour pouvoir cracher son feu. Crazy nerds fonctionne à la fois à la seringue, l’énergie étant le soucis de notre époque en avoir trop reste suspect, mais aussi au feu sacré du rock n’roll d’antant. Entre l’explosion d’un Jon Spencer qui prendrait des calmants et les bonnes feuilles de toursime magazine en direct des grandes routes rectilignes américaines, The Olympic Dragons fait le métier mais n’agite pas les méninges d’un chroniqueur qui ne sait après tout pas compter jusque trois. Un deux trois…come on




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