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Faut la voir la tronche de la scène française si chère aux yeux de Patrick ridiculo Eudeline. Bien cintrée dans ses jeans de publicitaire pedophilo-macrobio-philantropique de la nouvelle droite à la mèche rebelle et au sloggy apparent, elle n’a pas vu arriver le mur et encore moins les rires accompagnant un choc que nous souhaitions sans trop vous l’avouer. Le mur en l’occurrence est un éclat de rire à lui tout seul, une déconnade bien maîtrisée, un malstrom conjuguant la philosophie à la pop américaine de bon goût (Beck Pavement) saupoudré par la folie allant de badly drawn boy à animal collective. Sans se dépareiller d’un sourire formellement obligatoire, ce groupe ravive des flemmes perdues depuis l’avènement du télé crochet, l’humour le détachement (imaginez ce que pourrait être le prochain Radiohead avec un nez rouge) et le jeu de saute mouton arbitré par des pigeons grands consommateurs de produits prohibés. Préparez dés septembre votre bac philo, l’examinateur va aimer votre vous profond. Un grand saut dans l’absurde et la pop magistrale (comment se remettre de your hater’s society).




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