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C’est certainement cette tyrannie qui a fini par repousser l’écoute, et l’écriture d’une chronique de ce ep deux titres. Comme le disait si bien Desproges, dans la vie tout est affaire de choix, et de la naissance à sa mort l’homme est confronté au dilemme. FTCF a fait un choix, celui de faire évoluer sa musique, vers quelque chose de plus atmosphérique, plus étiré, mais pas moins emprunt d’une tension qui ne juge pas par ses cris, mais par ses silences reclus dans une grotte. Si l’on pense aux éclats suicidaires d’un Gregor Samsa qui ne choisirait jamais son terrain d’atterrissage, ce nouvel ep s’inscrit surtout dans la lignée des transformations vers l’inconnu que pas mal de groupes ont tenté par le passé, sans assumer le choix. FTCF l’a fait ce choix, et pour un avenir que l’on espère moins ténébreux que le laisse présager ces deux morceaux qui puisent leur inspiration dans les reflets noirs de la nuit. Notre choix lui est fait, FTCF sera l’un des groupes à surveiller pour l’année à venir avec un album en construction.




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