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Un single en éclaireur, un nom à ne plus se faire décoller du lit comme dormant dans le décor de the party la furie ambiante en moins. Quoique. Communication’s lost qui ouvre les festivités est la plus belle caresse perverse. Un morceau qui tout en se levant dans une douceur palpable nous incite à un mouvement des hanches, une danse lente mais un mouvement quand même. Si cocosuma n’est pas sorti chez Tricatel c’est certainement que Burgalat n’a pas senti derrière la douceur, la sauvagerie érotique et le plaisir cristallin des arrangements. Allant à contre courant d’un vintage de parade, frôlant du doigt la réalité de l ’épiderme, cocosuma fait jouxter la mélancolie à une attitude de pyromane mélodique. Héroïque dans ses choix, car laissant de côté la vulgarité, cocosuma sent encore l ’été et prend pour réalité une intemporalité étonnante, une aptitude à dessiner le passé avec une couleur actuelle, ou le contraire. Un écrin de douceur et de bonheur dans un monde de brutes.




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