Cet album d’Orval Carlos Sibelius est une pépite pop de plus au tableau de chasse du franc-tireur parisien psychédélique.

OCS (lui, pas la plateforme de streaming) ne semble jamais effrayé par la nouveauté des paysages musicaux et lexicales qu’il défriche à chaque nouvel opus.

Chez lui comme chez Jacco Gardner, l’expérimentation sonore ne snobe jamais la mélodie, et comme chez Hyperclean (ou même Katerine), ses paroles ne tournent jamais le dos à la bizarrerie et au décalage artistique.

En parlant d’expérimentation et de bizarrerie, j’ai demandé à l’Intelligence Artificielle du moment de rédiger à ma place cette chronique d’album... Et bien vous pouvez reprendre votre souffle : le résultat est la preuve que nous avons encore un peu de temps avant le Big Bang Numérique qui risque de remiser pas mal de métiers au purgatoire de l’oubli et de la nostalgie. 
Je vous le copie/colle à la fin de cette chronique en bonus comico-technologique

En tous cas moi je vais profiter de ce temps pour écouter et réécouter TERRITOIRES DE L’INQUI​É​TUDE, et je vous invite à faire de même pour planer très haut au dessus du brouhaha quotidien.

BONUS CHAT GPT-3

"Le nouvel album de Carlos Orval Sibelius est un mélange unique de style musical, d’influences culturelles et de références historiques. Carlos, le chanteur, apporte une touche de rock alternatif à l’album, tandis que Carlos le terroriste rappelle la lutte politique et sociale qui se joue dans certaines parties du monde. La bière trappiste Orval, quant à elle, symbolise la tradition belge et la recherche de la perfection à travers les arts. Enfin, le compositeur finlandais Sibelius, avec ses compositions symphoniques, apporte une touche de majesté et de poésie à l’album. Ensemble, ces éléments créent un univers sonore unique qui laisse un impact profond sur l’auditeur." Lester BanGPT-3