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Une célèbre marque de café soluble dans l’eau et difficilement digérable avait pour slogan " ce n’est pas la peine d’en rajouter ". Après une écoute distante, puis une autre sceptique, la troisième fut la bonne pour me sentir aussi passionné par ce disque que par la série complète de camera café. La forme du vent, n’est pas l’hymne des tempêtes hivernales, mais un disque que les malheureux malade de l’Alzheimer devraient eux consommer sans trouver à y redire, car ce disque n’avance pas, les guitares sont les mêmes, la basse et la batterie jouent un marquage à la culotte à la claudio gentile, et on ne voit jamais venir le coup fatal, l’échec et mat. Ce n’est pas la peine d’en rajouter.




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