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  • 25 février 2010 /
    New pretoria
    “act 1”

    rédigé par gdo
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Complice de syd matters, New pretoria a poussé la porte de ma boite à lettre afin d’y déposer ces cinq pièces de act 1, un ep autoproduit à la maison. A l’écoute de old man’s curse premier morceau j’ai bien imaginé à partir de maintenant bloqué l’entrée de cette boite. Electro acoustique à la House of love mais un chant trop en avant et pas toujours en accord avec la fluidité et la subtilité de l’accompagnement, old man’s curse devait être le chant du cygne de Pretoria, mais le soleil c’est mis à briller. On jurerait (the sun) un come back de lloyd cole en grâce retrouvant une âme. Une montée progressive téléphonée mais remarquablement colorée. Sur la chanson suivante (the follow song) Nick drake n’est jamais loin, enfin son fantôme. Un retour à la simplicité. Une voix une guitare et la beauté du silence que l’on sent timidement perturbé. Splendide. Ce n’est pas être pessimiste de la constater, car cet état est le seul sure…..nous allons tous y passer. Le diable à l’entrée de cette folk song jouée (we all die) en haut d’un grand escalier d’une demeure abandonnée, glace les sangs. L’harmonica s’impose comme le seul complément autorisé à accompagner ces instants magiques. Pour finir impossible de ne pas penser au gift du velvet. Une histoire racontée (CONY) sur une musique terrible de sens, ici une souffrance qui annihile le bruit et la vitesse et de rend par le chant l’instant grave. On ne peut que souhaiter à New Pretoria de suivre le même chemin que syd matters, comme il l’a fait via sa lettre.




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