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La girafe est un grand animal qui en dépit de sa monstruosité ne fait pas peur, peut être victime de son côté longiligne et de ses couleurs attractives. En nommant son disque ainsi echoboy à voulu sortir de son propre zoo et voir plus loin (normal avec une girafe) s’acoquinant avec Flood producteur en autre de u2 et de son zoo station, tv ou europa. L’animal pour ce nouvel album a vu les choses en grand et défriche dans la jungle de la pop hybride, produit génétiquement modifié depuis les expérimentations de new order (don’t destroy me). Pas un animal ne pourra résister plus de dix secondes à cet appel aux sens, catalyseur d’une énergie entre les lo fidelity all stars et les fauves du songwriting venimeux à l’instar de ce good on t.v. décapant et sans concession, un tube en devenir véritable vers dans le fruit pourris de la trash télévision. Des tubes echoboy pourrait bien en avoir semer plus que de raison tout au long de ces dix morceaux, et remporter le titre de nouveau roi du règne animal avec ce terrifiant, orgasmique, planant, déboussolant Wasted spaces, sorte de mofo à visage inhumain, suite de boucles ininterrompues, tout juste par une mise en garde nerveusement difficile. Wasted spaces est l’emphase de la recherche de nouveaux espaces d’echoboy, regardant de plus haut, l’œil et la plume acérés. Monstre pop, pop pop pop pop pop muzik, radio vidéo………EnOOOOOOrme et monstrueux.




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