Salut, je suis videur, mon nom à peu d’importance, par contre je vais te dire une chose, avec moi l’ambiance est assurée dans ta boite. Je suis pas DJ je sais, mais je suis pas non plus un videur à l’ancienne, ou un physionomiste pour se la donner dans la langue, comme la voisine qu’est technicienne de surface. Mort de rire. Alors avec moi pas question de tenue obligatoire, les baskets ou les mocassins ont la même chance de rentrer. Moi ce que je laisse rentrer ce sont des fêtards qui ne se la donnent dans un style qui pourrait être celui de In The Club. Si tu veux moi je kiffe (ouais faut parler jeune) les tribus chez les ados, cette codification par la fringue, quitte à péter le PEL de papa et maman. Avec eux le rock il connaît des pas de danses donnant au slim une allure plus que rebelle. Fini la démarche de pingouin en descendant du bus, bonjour l’attitude punk branché avec des touches de remuage de popotin terrible. Tu vois les Strokes (She’s A Man ), et bien tu y rajoutent une basse plus punchie, tu y enlève le côté trop glamour version journal que maman consulte quand elle va se faire botoxé, et tu y ajoutes une énergie puérile, mais complètement dénuée d’alliage déniaiseurs. Moi avec tout cela je te fais rentrer In The Club. Tu pourras même roucouler, te lover tranquille sur les banquettes en skaï orange pour écouter des titres comme (Sofa Memories). Mais la majeur partie du temps tu vas pouvoir te prendre en plein dans la face des tubes impeccables, des boules d’énergie enrobées d’une parfaite connaissance des rouages d’une pop rock dansante.

En talon, en basket, en jean, ne costume collé au corps, tu pourras rentrer dans peine In The Club, et tu sortiras en me laissant une fossette saillante et vivifiante pour moi, moi qui t’auras donné le droit de casser des codes et des coutumes. Un grand disque pop rock pour remuer avec classe et distanciation.