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Présenté comme une suite logique au Funeral des Arcade Fire, Black Sheep Boy est loin de suivre l’album de ces deux dernières années. Black Sheep Boy n’a pas la densité sonore ni la complexité des harmonies du gang canadien. Ce manque relatif, orkkervill river le compense par une intensité émotive tout aussi prenante dans une lignée qui va du Palace Brothers à l’orchestre des Tindersticks sans la tension malsaine. En cinquante minutes il signe une ode à la mélancolie prenant par surprise le temps d’un the lastest though signe tangible de la possibilité d’une île ou toute la population chanterait des chansons tout aussi tristes que donnant des raisons d’espérer. L’avenir nous dira si ce Black Sheep Boy sera le londinium de Funeral, un disque pouvant vivre ou faire mourir dans l’ombre. A la vie, à la mort.




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