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Salut Jean Louis, ici c’est lolo dents du bonheur, alias Laurent V.. Tu sais je suis fan de ce que tu arrives à faire. J’ai à peine le temps de coucher sur papier une mélodie et trois lignes de texte que toi tu as déjà signé deux albums entiers. Enfin tu vois, quand je m’attaque à un disque de reprises moi c’est la pop sucrée pour surfeur doré, et toi pendant ce temps là tu nous présentes des poètes (des potes à toi je pense). Tout y passe, la mythologie chez toi c’est comme si je reprenais le poète Yves D. . Tu vois l’histoire du muscle doux j’ai été obligé de téléphoner à Alain S. qui m’a filé les coordonnés d’un pote à lui, un certain Raphaël (un mystique pour n’avoir qu’un prénom) pour enfin comprendre le sens, et je me suis pris une bonne vieille claque. Avec toi l’amour elle est bien servi, c’est ton dada mon gars (tu permets) au point de ne parler que d’elle, mais je sais pas tu connais pas la plage le sable chaud et les filles cuivrées ? Ah sérieux, tu viens de Clermont Ferrand. Vache tu veux pas faire bienvenue chez les auvergnats (quand tu parle de site, c’est trop fort l’internet au moyen âge), non mais je connais des acteurs supers sympas que je croise à la soirée des restaurants du coeur, cool quand même ces soirées, j’espère qu’elle ne s’arrêtons pas de si tôt, sérieux Liane Foly en Muriel Robin une vraie poillade. Après je demande pas une explication de texte, mais le vocabulaire que tu utilises c’est pas le dictionnaire à rime de mon pote Francis C. (faut que je lui demande son album est terminé...rimes classes à volonté, tu vas être assis, faire rimer cabane et jerricane). Tu dois bosser vachement, mais je comprends pas moi je bosse, mais je suis toujours au septennat. J’allais oublier, il parait que tu joues tout sur tristan. Tu fais comment ? Tes voisins t’appellent Rémi Brika ? Non je te vanne pas, c’est juste comme cela pour faire un mot. Même en anglais tu touches, sérieux je sais pas comment ta maison de disque accepte I want to kill you sans explicit lyrics sur ton disque. Bon Jean Louis je vais te laisser. Pour le film c’est pas une idée sans suite, je suis super sérieux, mais dans le même temps si tu peux demander à ton pote Baudelaire de m’écrire deux trois chansons pour mon prochain disque tu serais choux. Salut mon troubadour. Laurent V. . PS : le type qui poste ce courrier me demande te dire que ton disque est magnifique, voire le plus beau de ta carrière (chanteur bonheur et surtout l’hermine le fait délirer) et que ta poésie n’a d’égal que ta musique.