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  • 10 novembre 2006 /
    Pixies
    “faces B”

    rédigé par gdo
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Ahhh !. les Pixies, ont pourrait en écrire des pages sur les Pixies ? Alors que sort cette compilation de faces B on pourrait revenir sur l’immensité de l’œuvre laissé par l’un des groupes les plus importants du rock moderne. Les albums indispensables comme Surfer Rosa ou Doolittle, bourrés a ras-bord de chansons légendaires tournent on-ne-peut-plus régulièrement sur les platines, vu que personne n’a réussi a faire mieux jusqu’à présent. Leur influences dans la musique actuelle sont considérables et se sentent a des kilomètres. Weezer a du se shooté aux Pixies jadis, alors que Feeder donne tout simplement dans le plagiat. Et donc arrive cette compilation, en même temps que le nouvel album de Frank Black soi dit en passant (mmm, soit, coup marketing ou pas, on s’en fiche) et un peu après cet acoustic à la BBC vraiment très intéressant et frais. Le livret est rédigé par le gros lui même qui se penche sur chacune de chansons présentes. Les chansons venons-y. Listées par ordre chronologique, allant de Surfer rosa a Trompe le monde, elles alternent le bon et le moyen. Une chanson comme Into the white rappelle les meilleurs moments du groupe, ce côté apocalyptique et rageur, avec cette construction classique dans la chanson, la basse de la divine Kim Deal qui ronronne et une guitare toujours jouissive. Oh que c’est bon, on les aime tellement. Quelques perles par ci par la donc comme encore Velvety Instrumental Version mais aussi quelques chansons assez anodines, notamment de l ?époque de Trompe le monde, l’énigme discographique bien propre sur elle des Pixies On trouve également quelques instrumentales savamment orchestrées et des lives de l’époque de Surfer Rosa, dont le mythique River Euphrates qui parvient toujours a hérisser les poils malgré les années. Donc si vous êtes toujours admiratifs devant l’excellence inégalée de ce groupe, si vous avez envie d ?avoir en plus les clips d’Allison et de l’hilarant Here comes your man, et si vous n’en pouvez plus d’attendre le nouveau Breeders, l’achat de cette compilation s’avère indispensable.




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