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  • 1er mars 2010 /
    Jocari
    “intimacy ruins”

    rédigé par gdo
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Qu’il va être difficile de vous parler de Jocari après ce que Dana Hilliott a pu en dire. Comment parler de ce disque sans paraître trop con après ses paroles sur le Love Is An Animal Of The Farm. Que dire de plus d’un disque quand l’émotion vous tétanise au point de vous empêcher de regarder ce qui a toujours fait parti de votre vie sans ne jamais avoir constaté que tout cela ne valait pas la peine. Intimacy Ruins est un Arise Therfore qui aurait trouvé sa voie loin de la technologie, mais se serait contenté des os, comme un sevrage et aussi pour jouir plus des surprises. Rarement depuis que je chronique sur ADA mes tripes se sont autant retournées, donnant tout son sens au mot ascétisme quand on fini par ne plus comprendre que le tout n’est pas l’ennemi du rien mais l’ennemi de l’être. Jocari aka Fabien Larvaron tire au maximum de l’émotion de tout sans passer pour un tire larme ou une accroche chair de poule. Il frôle, caresse, souffle, picore plutôt que pioche et colore ses chansons d’un intime que nous étions plus capable de voir et sentir. De là à parler de chef d’œuvre il n’y a qu’un pas, que je me garderais bien de franchir, pour ne pas casser cette magie prenante.




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