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Déjà le septième album pour les protégés du label Monotreme. Pas de bouleversement majeur dans ce qui fait la particularité du groupe, sauf peut être une granularité du son qui lui donne une forme de patine qui n’est pas sans intérêt. Le groupe prend de l’altitude, s’essaye à une forme de détachement pour quelque chose de moins linéaire. S’essayant à la reprise avec celle du « Malibu » de Hole avec l’aide de Elizabeth Heaton la chanteuse de Midas Fall. Si on reconnaît le groupe, dés les premières écoutes, il y a comme une singularité tant le son est ici travaillé de façon à mieux mettre en perspective les influences diverses et jusqu’ici quelque peu cachées. L’autre réussite, c’est d’avoir écourté des plages qui pouvaient parfois s’éterniser par le passé, donnant une impression de remplissage d’étirement. Sur « Sink into the Ether » Stumbleine a non seulement étoffé son son, mais a surtout corrigé ce qui pouvait nous perdre, même si l’impression, parfois, persiste sur certains titres (White Noise Therapy) qui semblent des idées à l’aboutissement repoussé. En resserrant ses lignes, Stumbleine s’éloigne parfois des berges crispantes et fatigantes de l’ASMR pour une construction plus écrite.




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